Chambre de Kahlan & Alexander

Il observa la chambre, c'était une chambre toute simple mais confrotable.
Il y avait un bon lit et il y faisait chaud.
C'était tout ce qui importait.
Il prit Kahlan dans les bras pour lui faire franchir le seuil.
Mariés ou pas je me devais de fêter ce changement de vie mon amour...
Il la posa sur le lit et l'embrassa.

Elle passa ses mains autour de son cou en souriant.
Elle lui rendit son baiser
Tu sais ... ce n'est pas la maison...ce n'est pas notre maison.
Je n'ai pas l'intention de finir mes jours dans cet endroit clos.
Et je ne t'ai pas fais venir ici pour t'offrir ça ...

Il la plaqua contre le lit et se mît au-dessus d'elle.
Son visage à quelques centimètres du sien, bien décidé à ne pas avoir de conversation "sérieuse" ce soir.
Alors qu'as-tu à m'offrir pour mon arrivée chez toi ?

Elle ouvrit les bras.
Un sourire totalement aguicheur
Moi!
Ca ta va? Ou il faut que je fasse mieux?

Il la prit dans ses bras et commença à l'embrasser dans le cou
Et bien cela dépend...
Avec ou sans tes vêtements ?

Elle se faufila hors de ses bras, le sourire aux lèvres.
Sortant du lit...
Elle se dirigea vers leur sac de voyages :
Je ne sais pas...j'avais dans l'idée d'enfiler une vieille chemise de nuit...
Elle fit semblant de se baisser vers les sacs...puis se releva et se retourna, la main sur les boutons de sa chemise :
Mais il semblerait que ma température soit montée instantanément...comment faire...

Tu es malade ?
SI c'est le cas il va me falloir prendre soin de toi...
Il s'avança vers elle, la faisant reculer jusqu'au mur.
En même temps il avait commencé à enlever ses boutons un par un.

Oui il semblerait que je sois atteinte de la pire maladie qui puisse exister dans ce monde.
Une maladie incurable...
Elle s'avança vers lui, finissant de déboutonner la chemise du jeune homme.
Remonta ses mains le long de son torse nu, arrivant jusqu'à ses épaules, lui faisant glisser sa chemise à terre.
L'Amour!

Il finit de dégraffer ses boutons et fît glisser la chemise au sol.
Révélant sa poitrine qu'il embrassa tout en laissant vagabonder ses mains sur le reste de son corps.
Une maladie incurable ?
Et en plus je crois qu'elle est très... très... très... contagieuse.
A chaque baiser il remontait le long de son cou jusqu'à son oreille où il s'attarda un moment.

Elle ne put retenir un premier soupire de plaisir.
Se cambrant sous les baisers.
Son corps le réclamait, encore et encore.
Elle se mit sur les pointes de pieds se collant contre lui.
Une main sur son dos et l'autre perdu dans ses beaux cheveux blonds.
J'espère bien qu'elle est contagieuse

La soulevant de terre et la plaqua contre le mur.
Laissant ses mains s'approprier son corps.
Je peux te le confirmer car...
Je sens déjà monter ma fièvre.
Touche.
Il plaqua la main qu'elle avait sur son dos sur son torse.

Elle enroula sa taille de ses jambes.
Maintenu par le mur et par Alexander, caressant son torse.
Sa peau était douce mais commençait à être moite.
Elle passa ses pouces sur ses têtons qui se durcirent instantanément.
Elle sourit.
Oui c'est bien ce que je vois

Il la bascula instantanément sur le lit et entreprit d'enlever le reste des vêtements qui les séparaient encore...
Ne cessant de la couvrir de baisers il entreprit de commencer à la combler par de subtiles caresses.
Il semblerait que ta température ait atteint un seuil critique mon amour...

Son souffle s’accéléra prise d'une passion dévorante.
Elle le laisse la déshabiller.
Puis le fit basculer et s'assit sur son torse.
Ses cheveux tombant en cascade sur son corps.
Elle entreprit de le caresser, de l'embrasser.
S'attardant sur ses tétons et en les mordillant légèrement.

Il entreprit de caresser savamment sa poitrine la faisant glisser le long de son torse jusqu'à être dans la bonne position.
Puis lui souriant, il en profita pour ne faire qu'un avec elle alors qu'elle ne s'y attendait pas à cet instant précis.
Son sourire toujours aux lèvres il la plaqua à son tour sur le lit et passa au-dessus d'elle afin qu'elle ne se fatigue pas trop.

Elle poussa un réel gémissement quand il la prit par surprise.
Un sourire béat sur les lèvres.
Elle se cambra littéralement lui laissant prendre en main les opérations.
Elle n'avait connu le plaisir qu'avec lui.
Et ne le partagerait qu'avec lui.

Voyant ce sourire sur son visage, il ne pouvait être plus heureux.
Il reprit de plus belle, profitant de cet élan d'amour pour lui donner davantage de plaisir.
Sa seule préoccupation était son bien être.
Se faisant plus insistant il poursuivit par un ultime coup de rein, les menant tous deux à l'extase.
Puis il reposa sa tête dans son cou, respirant ses cheveux, toujours en elle, voulant profitant de cet instant où ils ne faisaient vraiment plus qu'un.
Murmura :
Je t'aime.

Ils partirent ensemble dans un gémissement de bonheur et de plaisir.
Elle essaya de reprendre son souffle.
Il avait posé sa tête contre sa poitrine.
Elle l'entoura de ses bras.
Caressant avec douceur ses cheveux.
Moi aussi je t'aime mon Amour

Il commença à retrouver le calme de sa respiration.
Il leva ses yeux vers elle, pour la première fois elle y vit une faille.
Es-tu heureuse Hellen ?

Elle le regarda tout à fait déboussoler par cet air fragile.
Un air qu'elle n'avait jamais vu.
Elle posa sur lui un regard qu'elle voulait des plus rassurant :
Mon Dieu Alexander...En doute tu vraiment?
Ne t-ai pas rassurer sur ce sujet
Elle passa avec douceur sa main sur son visage
Tu as fait de moi la femme la plus heureuse et la plus comblée qu'il existe sur cette terre
Je t'aime tellement que te sentir loin de moi me déchire.
Que pourrais je de plus?

Il passa sa main sur sa joue puis dans ses longs cheveux.
Je ne parle pas de nous mon amour.
Un seul de tes regards me rassurerait jusqu'en enfer.
Je parlais de toi.
Uniquement de toi.
Il planta son regard vert d'eau dans le sien.
Es-tu plus heureuse maintenant que tu es rentrée ?

Elle planta son regard dans le sien
Alexander...Il n'y a pas de moi. Il n'y a plus de moi.
Celle que je suis...c'est le nous.
Mon bonheur coincide avec le tien. Comprends le.
Elle déposa un baiser sur son front
Tu m'as ramenée à mes terres. Comment pourrais-je être malheureux
Tu es avec moi...
Mais la question c'est toi...tu es dans un pays qui n'est pas le tien et dont la plus part si ce n'est la totalité des habitants déteste les anglais. Je t'ai emmené dans un monde qui te fera souffrir. Et pour cela je m'en veux. Je suis égoiste.

Il mit une main de chaque côté de son visage, l'encadrant complètement.
Je me moque de la terre où je me trouve.
Ma maison c'est toi.
Peu importe si les villageois me sont hostiles, je leurs prouverai qui je suis et ce que je vaux.
Mon bonheur à moi, c'est toi. Le reste je m'en moque.
Il stoppa tous ses mouvements d'un regard, plus aucune faille ne s'y lisait mais une belle détermination.
Pourquoi serais-tu égoïste mon amour ?
Parce-que tu aimes ta terre et que tu aimes y vivre ? Parce-que tu veux me la faire découvrir ?
Moi je n'ai pas cet attachement pour ma terre même si j'aime mon pays. Je suis trop en désaccord avec ce qu'il fait pour l'aimer sans retenue comme tu chéris le tien.
Sache que je t'aime Hellen et j'aime déjà ta terre.

Elle soupira de plaisir.
Rassurer par les mots de l'homme qu'elle aimait.
Tout se passera bien.
Ils t'accepteront...je ne leur laisse pas le choix de toute façon.
Et nous avons l'appuie de mon frère.
Elle se blottit contre lui calant sa respiration sur la sienne :
Tant que nous sommes ensembles, nous sommes invincible.
Je serai ta force et ton bouclier.
Je serai celle qui sera à jamais à toi et à tes cotés.
Je t'aime.

Il la prit dans ses bras et reserra son étreinte.
Caressant sa longue chevelure il déposa un baiser sur son front.
Je sais que tout se passera bien.
Ne t'en fais pas.
Je te protègerai toujours Hellen, que se soit ici ou ailleurs.
Je t'aime.
Il ferma les yeux en profitant de ce moment rien qu'à eux.